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Société Générale Private Banking a l’ambition de vous apporter la meilleure qualité de service possible. Toutefois, des difficultés peuvent parfois survenir dans le fonctionnement de votre compte ou dans l’utilisation des services mis à votre disposition.

Votre banquier privé  est votre interlocuteur privilégié pour recueillir et traiter votre réclamation.

En cas de désaccord avec votre banquier privé ou d’absence de réponse de sa part, vous pouvez adresser votre réclamation à la Direction de Société Générale Private Banking France en envoyant un e-mail à : FR-SGPB-Relations-Clients@socgen.com ou un courrier à l'adresse suivante : 

Société Générale Private Banking France
29 boulevard Haussmann CS 614
75421 Paris Cedex 9

Société Générale Private Banking France s’engage à accuser réception de votre réclamation sous 10 (dix) jours ouvrables à compter de la date de son envoi et à vous apporter une réponse dans un délai de 2 (deux) mois à compter de cette même date. Si nous ne sommes pas en mesure de respecter ce délai de 2 (deux) mois, vous en serez informé par courrier. 

En cas de désaccord avec la banque ou d’absence de réponse dans un délai de 2 (deux) mois après l’envoi de votre première réclamation écrite, ou de 15 (quinze) jours ouvrables pour une réclamation portant sur un service de paiement, vous pouvez saisir gratuitement, selon la nature de votre réclamation : 

Le Médiateur de la consommation auprès de la Fédération Bancaire Française

Le Médiateur de la consommation auprès de la Fédération Bancaire Française (FBF) est compétent pour les différends relatifs aux services fournis et aux contrats conclus en matière d’opérations de banque (gestion de compte de dépôt, opération de crédit, services de paiement par exemple), de services d’investissement, d’instruments financiers et de produits d’épargne, ainsi qu’à la commercialisation des contrats d’assurance.

Le Médiateur auprès de la FBF vous répondra directement, dans un délai de 90 (quatre-vingt-dix) jours à compter de la date à laquelle il aura reçu tous les documents sur lesquels est fondée la demande. En cas de litige complexe, ce délai peut être prolongé. Le Médiateur auprès de la FBF formulera une position motivée qu’il soumet à l’approbation des deux parties.

Vous pouvez saisir le Médiateur auprès de la FBF par voie électronique sur le site internet du Médiateur : www.lemediateur.fbf.fr ou en adressant un courrier à l’adresse suivante :

Le Médiateur de la Fédération Bancaire Française
CS 151
75422 Paris CEDEX 09

Le Médiateur de l’Autorité des Marchés Financiers

Le Médiateur de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) est également compétent pour les différends relatifs aux services d’investissements, aux instruments financiers et aux produits d’épargne financière.

Pour ce type de différend, en tant que client consommateur, vous disposez donc d’un choix entre le Médiateur de la consommation auprès de la FBF et le Médiateur de l’AMF. Dès lors que vous avez choisi l’un de ces deux médiateurs, vous ne pouvez plus saisir, pour ce même différend, l’autre Médiateur.

Vous pouvez saisir le Médiateur de l’AMF par voie électronique sur le site internet de l’AMF : www.amf-france.org/fr/le-mediateur ou en adressant un courrier à l’adresse suivante :

Le Médiateur de l’Autorité des Marchés Financiers
17 place de la Bourse
75082 Paris Cedex 2

Le Médiateur de l’Assurance

Le Médiateur de l’Assurance est compétent pour les litiges sur la souscription, l’application ou l’interprétation d’un contrat d’assurance.

Vous pouvez saisir le Médiateur des Assurances en utilisant les coordonnées qui doivent être mentionnées aux termes de votre contrat d’assurance.

Afin d’assurer un traitement optimal de vos demandes, toute réclamation auprès de notre établissement peut être adressée à l'adresse suivante :

Service réclamations Banque privée
11, Avenue Emile Reuter
L-2420 Luxembourg

Ou par e-mail à l’adresse clienteleprivee.sglux@socgen.com et

pour les clients résidant en Italie à l’adresse societegenerale@unapec.it

La Banque s’engage à accuser réception de votre demande dans les 10 jours ouvrables suivant sa date de réception et à vous apporter une réponse dans un délai maximum de 30 jours ouvrables à compter de sa réception. Si votre demande devait nécessiter un délai de traitement supplémentaire (recherches complexes…), nous vous en informerons endéans ce même délai de 30 jours ouvrables.

Dans l’hypothèse où la réponse qui vous est apportée ne correspondrait pas à vos attentes, nous vous informons de la possibilité :

En premier lieu, d’adresser à la Direction de Société Générale Luxembourg en charge du traitement des réclamations, votre demande à l’adresse suivante :

Secrétariat Général de Société Générale Luxembourg
11, Avenue Emile Reuter
L-2420 Luxembourg

En second lieu, si la réponse de la Direction en charge du traitement des réclamations ne permet pas de clore la réclamation, de disposer de la faculté de saisir l’Autorité de tutelle de Société Générale Luxembourg, la Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF) :

Par courrier : 283, Route d’Arlon L-1150 Luxembourg
Par courriel :
direction@cssf.lu

Afin d’assurer un traitement optimal de vos demandes, toute réclamation auprès de notre établissement peut être adressée soit par e-mail à l’adresse suivante : servicequalite.privmonaco@socgen.com ou par courrier à notre service dédié :

Sociéte Génerale Private Banking Monaco
Middle Office – Service Réclamation 
11 avenue de Grande Bretagne 
98000 Monaco

La Banque s’engage à accuser réception de votre demande dans les 2 jours ouvrables suivant sa date de réception et à vous apporter une réponse dans un délai maximum de 30 jours ouvrables à compter de sa réception. Si votre demande devait nécessiter un délai de traitement supplémentaire (recherches complexes…), nous vous en informerons endéans ce même délai de 30 jours ouvrables. 

Dans l’hypothèse où la réponse qui vous est apportée ne correspondrait pas à vos attentes, nous vous informons de la possibilité d’adresser à la Direction de Société Générale Private Banking Monaco en charge du traitement des réclamations, votre demande à l’adresse suivante : 

Sociéte Génerale Private Banking Monaco
Secrétariat Général 
11 avenue de Grande Bretagne
98000 Monaco

Toute réclamation auprès de notre établissement peut être adressée par messagerie électronique à l’adresse suivante :

sgpb-reclamations.ch@socgen.com

Les clients peuvent également avoir recours à l’Ombudsman des banques suisses dont les coordonnées figurent sur le site :

www.bankingombudsman.ch

Weekly Update - Tendance négative des indicateurs de « surprises » : ne pas surinterpréter trop vite

Les « surprises » comptabilisent, pour un grand nombre d’indicateurs économiques, les publications au-dessus ou en-dessous des anticipations. Depuis quelques semaines, les « surprises » côté activité apparaissent clairement négatives à la fois aux Etats-Unis et en zone euro. Ces surprises illustrent avant tout le maintien d’une certaine déconnexion entre les données d’enquêtes et les données « en dur », et ne remettent pas en cause notre scénario d’un environnement économique qui reste porteur, avec une activité modérée mais positive et une inflation qui continue de diminuer, ouvrant la voie aux baisses des taux des banques centrales.

Maintien d’une déconnexion entre les données d’enquêtes et les données en « dur ». Depuis le Covid, les indicateurs d’enquêtes sous-estiment la reprise de l’activité économique. La première explication était liée aux tensions très spécifiques liée à la crise du Covid, notamment celles liés aux difficultés d’approvisionnement et aux goulets d’étranglement. Plus récemment, cette déconnexion s’expliquerait par une sensibilité accrue des ménages et des entreprises à certaines variables – inflation et taux d’intérêt notamment, compte tenu que les économies développées n’avaient pas connu d’épisode inflationniste marqué depuis près de 40 ans et de taux élevés depuis 10 ans. Tout d’abord, les ménages continuent d’avoir une perception très négative de l’inflation alors que celle-ci a déjà bien diminué. En effet, les ménages restent davantage marqués par la hausse significative des prix, que par le ralentissement du rythme de hausse. La progression des revenus n’est en outre pas perçue comme suffisante et maintient une confiance dégradée des ménages. De façon équivalente, les enquêtes auprès des entreprises resteraient affectées par le niveau toujours élevé des taux d’intérêt.

Aux Etats-Unis, les enquêtes surestiment le ralentissement de l’économie. Partant de niveaux de croissance très élevés pendant plusieurs trimestres, l’activité économique ralenti outre-Atlantique et cette détente était à la fois attendue et souhaitable. Si ce ralentissement est bien réel, il apparaît surestimé par les données d’enquête. Les données en « dur » d’activité montrent un ralentissement beaucoup plus contenu. Si la consommation en biens des ménages ou encore le marché du travail ralentissent, la consommation en services, la production industrielle ou encore l’investissement des entreprises restent bien orientés. Au total, les données en « dur » nous confortent sur notre scénario d’une croissance qui pourrait se stabiliser autour de 2% aux Etats-Unis, soit son niveau pré-covid. Avec la confirmation de la baisse de l’inflation, ce scénario permettra à la Réserve fédérale de baisser ses taux d’intérêt dans les mois à venir.

En zone euro, la croissance resterait positive mais plus contenue et plus incertaine. En zone euro, le contexte reste différent des Etats-Unis, avec un niveau d’activité toujours plus modéré. En plus des enquêtes qui apparaissent en retrait, les données en « dur » donnent des signaux mitigés, avec notamment une activité industrielle qui continue de décevoir. Les données « en dur » et les indices de confiance continuent de signaler une divergence entre la robustesse des secteurs liés à l’investissement des entreprises (un moteur puissant de la croissance en 2022-23) et la faiblesse de la consommation des ménages (notamment en biens durables tels automobiles). Néanmoins, le repli de l’inflation dans un contexte de marché du travail toujours tendu et de croissance des salaires vigoureuses devraient permettre une amélioration du revenu disponible réel des ménages et à terme de la consommation.  Nous continuons ainsi de tabler sur le maintien d’une croissance modérée mais positive, soutenue par la détente de l’inflation puis celle des taux d’intérêt au deuxième semestre.

Autres faits marquants de la semaine 

Dans les événements marquants de la semaine, nous avons choisi d'évoquer l'inflation aux Etats-Unis ainsi que la situation économique et politique en France : 

  • L’inflation aux Etats-Unis a poursuivi sa décrue au mois de juin, avec des chiffres nettement en dessous des attentes du marché. Les surprises baissières sont venues du côté de l’inflation des services, avec notamment la composante habitation (35% de l’indice CPI) qui montre enfin des signes de normalisation. Pour la première fois depuis quatre ans, les prix baissent sur le mois, à -0,1% alors que le consensus attendait une stagnation. En donnée sous-jacente, l’inflation s’élève à 3,3% sur un an contre 3,4% attendu. La Fed obtient ainsi des preuves concluantes sur le repli de l’inflation, ce qui devrait permettre à la Banque centrale de commencer à cycle de baisse de taux en septembre.

  • Les élections législatives en France n’ont pas produit un clair vainqueur, aucun des blocs n’ayant obtenu la majorité absolue, qui lui permettrait de soutenir un gouvernement composé depuis ses rangs. Ainsi, l’incertitude politique créée par la dissolution de l’Assemblée nationale n’est pas retombée. Dans sa dernière note de conjoncture, l’INSEE prévoyait avant les élections une croissance du PIB de 1,1% en France en 2024, soit autant qu’en 2023, notamment grâce à un effet Jeux Olympiques au T3 qui rehausserait la croissance de +0,3 point de%. Plusieurs éléments à la suite des élections peuvent désormais interférer avec cette prévision, notamment la durée du climat actuel d’incertitudes politiques, un éventuel changement de politique budgétaire ou bien encore des taux d’intérêt plus élevés.

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